La voix de l'industrie alimentaire : de l'enquête auprès des consommateurs aux achats transfrontaliers

Que mangerons-nous demain ? À partir de cette question, le secteur entend prendre l'initiative de collaborer avec les consommateurs, les partenaires de la chaîne et les autres parties prenantes à un système alimentaire durable. Pour cela, nous avons besoin d'une politique déterminée : un message clair que Fevia a partagé dans les médias.

À table pour l'avenir de notre secteur 

Fevia Vlaanderen a rencontré le formateur Matthias Diependaele et les présidents de parti Melissa Depraetere et Sammy Mahdi pour discuter de l'avenir de notre secteur. Lors de cette entrevue, nous avons notamment réitéré notre besoin d'un « Ministre de l'Industrie » pour renforcer l'avenir de notre secteur.  

Trends | Sectorfederaties tonen toekomstpact industrie aan formateurs
Vilt | Fevia pleit voor minister van Industrie op elk beleidsniveau 

Des règles jusqu'au 3e pouvoir : trop is te veel

Nos entreprises alimentaires ne s’y retrouvent plus dans cette jungle réglementaire. Un nombre excessif d'inspections et de contrôles pèse sur leur fonctionnement quotidien. Quand les règles deviennent-elles contre-productives et détournent-elles l'attention de l'essence de la tâche ? 

Trends | Voedingsindustrie laakt regeldrift van de overheid
Gondola | Controles in de voedingsmiddelenindustrie: ‘Trop is te veel’ voor Fevia

Changement climatique 

Comment continuons-nous à produire des fruits et légumes toute l'année ? Et comment le changement climatique influence-t-il nos récoltes ? Fevia explique dans les médias comment nous pouvons réduire le risque de pénuries et ainsi continuer à approvisionner les consommateurs belges. 

Kanaal Z | Lode Ceyssens (voorzitter Boerenbond): 'We zijn er in Vlaanderen en Nederland in geslaagd zo duurzaam mogelijk te produceren'
L’Avenir | Les rayons de légumes surgelés ou en conserves bientôt vides ?

Enquête auprès des consommateurs : le consommateur belge choisit consciemment des produits alimentaires et boissons belges 

Comment le Belge perçoit-il les aliments et boissons belges ? C’est ce qu’iVOX a cherché à savoir en réalisant une enquête auprès de 1 000 Belges, à la demande de Fevia, la fédération des entreprises alimentaires belges. Résultat ? Le « délicieusement local » a le vent en poupe : pas moins de 72 % d’entre eux achètent des aliments et boissons belges pour soutenir l'économie locale. 

Canal Z | Les Belges achètent des produits belges
La Libre | Voilà pourquoi les Belges achètent des produits belges
De Morgen | We eten liever Belgisch, behalve als het duurder is
HLN | We eten liever Belgisch, tot de rekening komt

Libramont : 5 propositions pour un système alimentaire wallon solide

Le nouveau gouvernement wallon apportera-t-il un vent de fraîcheur sur le sud du pays ? Fevia Wallonie met à disposition ces 5 propositions, avec lesquelles nous pouvons construire en Wallonie une industrie robuste et un système alimentaire tourné vers l'avenir. 

L’Echo | Les attentes de l'industrie alimentaire à l'égard du nouveau gouvernement wallon

Loi UTP : un pas dans la bonne direction  

Les entreprises alimentaires bénéficient d'une protection accrue contre certaines pratiques commerciales déloyales grâce à une extension de la loi UTP. Les nouvelles règles représentent un pas dans la bonne direction. Avec le secteur agricole, nous demandons de faire sauter le plafond de cette protection. Want unfair is unfair, no matter the size!

Kanaal Z | Z-Nieuws van maandag 29 juli

Achats transfrontaliers : un manque à gagner pour notre pays 

Les Belges dépensent 769 millions d'euros en achats transfrontaliers en France, aux Pays-Bas, au Luxembourg et en Allemagne. Mais que se passerait-il si ce montant était dépensé dans notre propre pays ? Les recettes pour l'État augmenteraient, le pouvoir d'achat des Belges serait renforcé, et cela créerait davantage d'emplois et d'activités pour les entreprises et les travailleurs. 

La Libre | Achats transfrontaliers : la fin de l'envolée record pour les Belges
La Libre | Acheter dans les pays voisins, c'est 4 455 jobs de perdus
L’Echo | Les achats transfrontaliers privent la Belgique de près de 4.500 emplois